
Chère Véronique,
Le temps a filé, mais une chose demeure: mon affection pour toi. Peut-être ne suis-je pas la meilleure personne que tu aies connue, mais je sais que, dans ton cœur, je garde une place singulière. Un jour, lorsque tu entendras mon nom, j’aimerais croire qu’un sourire illuminera ton visage, non pas par regret, mais par la tendresse d’un souvenir.
Tu étais et restes unique à mes yeux. Nos chemins se sont éloignés, mais jamais mon désir de t’aimer ne s’est éteint. Si la vie nous offre une autre chance, sache que je t’épouserais toujours avec la même ferveur, la même joie, le même émerveillement.
Je ne cherche ni à raviver un passé révolu ni à bousculer ta vie, mais simplement à te rappeler que, dans un coin du monde, quelqu’un t’aime encore avec sincérité et patience.
Si un jour nos pas se croisent à nouveau, j’aimerais que ce soit avec la douceur d’un amour jamais terni.
Avec toutjours la même grande affection,